Septembre 2021 ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏
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L'Union paysanne: un mouvement indispensable!
| | C'est derniers mois nous ont démontré à quel point les crises écologiques, sociales et alimentaires sont reliés. L'Union paysanne, en prônant la souveraineté alimentaire et la défense de la paysannerie, propose une solution: nourrir adéquatement la population locale tout en préservant les ressources et les écosystèmes. Un gros mandat! Que nous ne pourrons pas accomplir seuls.
C'est pourquoi nous multiplions nos collaborations avec divers organismes sociaux, environnementaux et de santé publique. Nous participons aussi à plusieurs groupes de recherches, consultations, sondages et autres. Tout ça demande évidemment du temps et de l'argent, ce qui nous fait défaut. En effet, bien qu'il pourrait subventionner nos activités via plusieurs enveloppes, et bien qu'une voix paysanne soit essentielle dans un monde agricole monopolistique axé sur l'agrobusiness, le gouvernement du Québec refuse de nous aider. Nous avons donc besoin de vous, de vos dons, de votre adhésion au mouvement, de votre soutien moral, et surtout, de votre implication. L'Union paysanne fonctionne de manière décentralisée et, en tant que membre, vous êtes invités à mener une campagne qui vous tient à coeur ou à vous impliquer de toute autre manière. Le véhicule est là, profitez-en!
Alors ... êtes-vous membre? Avez-vous renouvelé votre adhésion? Avez-vous parlé de nous à tous vos ami.es et allié.es? Faites-le dès maintenant!
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Nos inquiétudes par rapport à la modification du Règlement des producteurs d'œufs d’incubation
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L’Union paysanne souhaite, à la suite de Dominic Lamontagne de La ferme impossible, exprimer ses inquiétudes quant aux récents changements apportés au Règlement des producteurs d'œufs d’incubation. En effet, suite à la demande de la Fédération des producteurs d’œufs d’incubation du Québec, le règlement 233 a été modifié par la Régie des marchés agricoles et agroalimentaires du Québec (RMAAQ) pour limiter à 15 le nombre de poules et reproductrices et à 5 le nombre de coqs que peut posséder un.e paysan.ne qui n’a pas de quotas de production. (...)
Le secteur de l’œuf d’incubation est grandement concentré : Le Québec compte à peine 37 producteur.trices d’œufs d’incubation et ce nombre est en constante diminution. Or, pour rendre notre agriculture plus résiliente, il importe de lever ce genre d'obstacle à la production à échelle humaine. En effet, la souveraineté exige la mise en place d’un système permettant à ces acteurs de maîtriser ses paramètres de production et de mise en marché, s’il le souhaite. Il importe donc de pouvoir accomplir le cycle au complet, de la reproduction à l’abattage et la mise en marché.
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Droit à la ferme – La production artisanale au Québec et son cadre législatif
L'équipe de jurivision a produit un court-métrage d'une trentaine de minutes sur la production artisanale et le droit législatif au Québec. Ils ont même réussi à illustrer la «recette législative pour un pâté au poulet». Une page qui vaut le détour!
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Consultation fédérale concernant l’évaluation des plantes génétiquement modifiées
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L'Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) entend laisser aux entreprises privées l’évaluation des risques environnementaux associés à des plantes génétiquement modifiées (GM). Ainsi, des semences GM non réglementées pourraient être vendues et cultivées au Canada sans avoir auparavant fait l’objet d’un contrôle de la part de l’ACIA. De plus, l’évaluation de la sécurité environnementale serait faite par les développeurs de ces plantes GM plutôt que par l’ACIA. L’adoption de ces modifications par l’ACIA signifierait l’autorisation de la vente de semences GM sans aucune déclaration obligatoire au gouvernement ou divulgation aux agriculteurs, une situation qui mettrait en péril l’intégrité des produits biologiques tant sur le marché domestique que sur les marchés d’exportation.
La période pour émettre des commentaires est terminée mais il est toujours possible de signer la pétition de Québec bio en cliquant sur le lien ci-dessous.
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